Le Prince Rainier III, alors lycéen à Montpellier, a joué dans cette pièce de Claude-André Puget, qui a été représentée publiquement au théâtre de la Comédie le 12 mai 1942.
D'APRÈS LA DÉLICATESSE DE DAVID FOENKINOS. David Foenkinos a écrit un texte rare, léger et spirituel, profondément humain. Son adaptation au théâtre, portée par un trio de comédiens talentueux, offre un vrai moment d’émotion et de bonheur.
Philippe Torreton interprète des poèmes de Ronsard, Baudelaire, Rimbaud… accompagné en musique par Richard Kolinka, ex-batteur du groupe Téléphone et le musicien Aristide Rosier. Ces différents textes nous questionnent, sans jugement, sur notre rapport à la nature, l’exploitation de la planète et son avenir menacé. Le comédien bouscule les codes du récital poétique et nous transcende avec sensibilité, force et énergie, en croisant l’âme des poètes avec la sagesse millénaire des Indiens d’Amérique du Nord.
Un homme est peu à peu persuadé, jusqu’à l’obsession, qu’un être invisible vit près de lui et se nourrit de sa vie pendant son sommeil. Est-il victime d’hallucinations, devient-il fou, ou bien est-il la première victime d’un être surnaturel ? À travers son journal intime, nous rencontrons cet homme qui paraît sain d’esprit, découvrons les différents phénomènes auxquels il est confronté, suspendus que nous sommes pendant plus d’une heure à son destin, jusqu’à en découvrir l’issue.
Dans ce monde d’incertitudes, qui peut prédire ce qui rapprochera ou éloignera deux êtres ? Quand Georgie, une américaine un peu fougueuse de 40 ans, et Alex, un boucher britannique discret de plus de 70 ans se rencontrent par hasard, sur le parvis d’une gare internationale, leur vie s’en trouve bouleversée à jamais. En se découvrant, leur relation se tisse, évolue au fil de leurs échanges, transformant peu à peu leur vision de la vie.
Être ou ne pas être populaire, telle est la grande question au coeur de J’ai trop d’amis, véritable manuel de survie pour tout élève entrant au collège.
Car il y a beaucoup de monde en 6ème, bien plus qu’à l’école primaire. Une fois que le grand saut a eu lieu, c’est là que les vrais ennuis commencent : les problèmes de popularité, les amis et surtout les ennemis, l’élection des délégués, les filles et surtout une en particulier…
Dans un seul en scène émouvant, Olivier Duverger Vaneck nous raconte son histoire. Celle d’un homme qui a connu la solitude dès son enfance. Sans jamais se plaindre, il se livre avec humour et sincérité sur cette absence de regard, cette impossibilité de nouer des liens. En déroulant le fil de sa vie, auquel il tresse quelques brins de fiction, le comédien nous offre un texte d’une grande poésie.
“D’où viens-tu ?” En partant de cette question à priori anodine, L.U.C.A (Last Universal Common Ancestor) remonte jusqu’aux origines de l’Homme et explore avec (im)pertinence les notions d’héritage et d’intégration. Un spectacle, pour toutes les générations, entre théâtre documentaire, conférence caustique et espace de résistance qui souhaite apporter une nouvelle approche dans le débat sur l’identité et les origines.
A cinq heures du matin, Matthieu débarque chez ses parents, trempé, portant un sac à dos rempli de pierres. Le père et la mère tentent de comprendre ce qui a bien pu arriver à leur fils, l’interrogent, mais il affirme ne se rappeler de rien. Les parents cherchent alors à faire émerger des souvenirs et la discussion se transforme rapidement en règlement de compte familial. Qui est Matthieu ? Un amnésique ? Un manipulateur ? Un enfant qui vient prendre une revanche sur sa famille ?
De tous les beaux esprits du XVIIe siècle, initiés et pensionnés par Nicolas Fouquet, et qui vont faire briller si haut le soleil d’un Roi, le plus grand esprit dont les talents ont tous été récupérés par Louis-XIV, et faire entendre une dizaine de fables de La Fontaine, parmi les plus audacieuses face à un jeune monarque avide de son pouvoir. Sans oublier que l’auteur de la cigale et la fourmi aura été le seul de ces grands esprits à soutenir son ami Fouquet et à demander régulièrement sa grâce au roi, mais en vain.